Vous ne vous l'êtes jamais posée vous cette question ? Et si demain, je n'y allais pas travailler. Et si je m'enfuyais, faisais le boulot buissonnier.
Allez avouez, vous aussi n'est-ce pas vous y avez pensé. Et surtout un lundi, après un week-end de bonheur, au sortir de vacances en éden.
Vous aussi vous vous refusez à vous laisser grignoter par la banalité, la réalité maussade, celle qui englue et tue à petit feu l'étincelle qui s'était fait jour, et laisse percevoir qu'il existe un espoir de nous en mieux.
On se met à croire que l'on peut tout envoyer bouler, que l'on peut, que l'on doit, que tous les possibles dont on avait rêvé étaient à portée de main, et nous chatouillent le bout des phalanges.
Alors on se dit, qu'on a le droit, sans se justifier, comme ça, d'un claquement de doigts et de talons, on se casse. Ou l'on reste dans son lit, sous sa couette, seul ou à deux. Et mettre dans sa vie du merveilleux.
Certains osent abandonnent par courage.
Et moi
Moi, je vais régler mon réveil, préparer mon cartable, mes vêtements automnaux, remiser les estivaux, et nourrir mes rêves de beaux jours et de bientôt, très bientôt
Allez avouez, vous aussi n'est-ce pas vous y avez pensé. Et surtout un lundi, après un week-end de bonheur, au sortir de vacances en éden.
Vous aussi vous vous refusez à vous laisser grignoter par la banalité, la réalité maussade, celle qui englue et tue à petit feu l'étincelle qui s'était fait jour, et laisse percevoir qu'il existe un espoir de nous en mieux.
On se met à croire que l'on peut tout envoyer bouler, que l'on peut, que l'on doit, que tous les possibles dont on avait rêvé étaient à portée de main, et nous chatouillent le bout des phalanges.
Alors on se dit, qu'on a le droit, sans se justifier, comme ça, d'un claquement de doigts et de talons, on se casse. Ou l'on reste dans son lit, sous sa couette, seul ou à deux. Et mettre dans sa vie du merveilleux.
Certains osent abandonnent par courage.
Et moi
Moi, je vais régler mon réveil, préparer mon cartable, mes vêtements automnaux, remiser les estivaux, et nourrir mes rêves de beaux jours et de bientôt, très bientôt
Bon courage pour la reprise et encore merci de nous avoir fait rêver pendant ton séjour en Inde...tes billets ont été un vrai bonheur!
RépondreSupprimeril m'est arrivé de reculer d'une matinée, d'une journée... pour un lundi au soleil ;)
RépondreSupprimerbon retour
Je serais une grosse menteuse si je disais que nonnnn jamais pensé à çà voyons !!!! :-) Bon courage pour la reprise, je t'embrasse bien fort
RépondreSupprimerBonne reprise, je te comprends surtout après les vacances que tu as eues. :-)
RépondreSupprimerhttp://www.deezer.com/track/10097516
RépondreSupprimer"J'envoie tout se faire foutre,
Et je pars sur la route,
Je ne reviendrais sans doute jamais,
Et si dans deux ans en train de crever,
N'aurais-je pas vécu là mes plus belles années ?
De Florence à Grenade,
De Prague à Bombay..."
Petite chanson à propos... :)
Bon courage, bon retour, j'espère que le boulot ne se jettera pas sur toi, qu'il te laissera le temps d'atterrir...
Merci² pour le partage de ce très beau voyage !
Je me dis ça tous les matins au réveil: "et si juste aujourd'hui je n'y allais pas?". Et puis finalement, une fois là-bas je suis contente d'y être parce que j'adore ce que je fais. C'est juste me lever tôt le matin que j'aime pas.
RépondreSupprimerEnfin, je devrais parler au passé, mon contrat s'est terminé vendredi et je suis officiellement en recherche d'emploi :)