Bon, d’accord, j’ai bien dû m’habituer à m’entendre dire que je n’ai pas inventé le fil à couper le beurre. Je m’en fiche, et m’en défends, dis que bien que pouvant être traitée d’ancêtre par des connasses acnéïques, que nul, et moi compris ne peut se vanter d’avoir connu cet heureux inventeur, qui n’a même pas daigné laissé son nom dans les annales ou la postérité.
Tout cela pour vous dire que j’ai découvert ce week-end un petit instrument tout bête, promis à un bel avenir dans ma salle de bain : l’ÉPIL SPRING. Certaines doivent connaître, peuvent passer leur chemin. Aux autres j’explique. C’est un machin tout simple, un ressort muni de poignées, que l’on tient de deux doigts pour courber le dit ressort. On l’applique sur la zone indigne de notre féminité, applique un geste rotatif, et voilà c’est terminé, poils et bulbes disparus.
Cet instrument est vendu pour, je cite, le "petit duvet disgrâcieux" de nos visages féminins, que nul n’osera appeler moustache et barbe. Moi oui, moi qui suis dans l’obligation de me désolidariser de mes amies méditerranéennes, me suis néanmoins laissée tenter par ce qui aurait pu n’être qu’un gadget, et le détourne à toutes mes fins utiles.

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