samedi 9 novembre 2013

Celle qui n'aimait pas l'idée de ne pas en avoir eu l'idée ...


Bon, d’accord, j’ai bien dû m’habituer à m’entendre dire que je n’ai pas inventé le fil à couper le beurre. Je m’en fiche, et m’en défends, dis que bien que pouvant être traitée d’ancêtre par des connasses acnéïques, que nul, et moi compris ne peut se vanter d’avoir connu cet heureux inventeur, qui n’a même pas daigné laissé son nom dans les annales ou la postérité.
Tout cela pour vous dire que j’ai découvert ce week-end un petit instrument tout bête, promis à un bel avenir dans ma salle de bain : l’ÉPIL SPRING. Certaines doivent connaître, peuvent passer leur chemin. Aux autres j’explique. C’est un machin tout simple, un ressort muni de poignées, que l’on tient de deux doigts pour courber le dit ressort. On l’applique sur la zone indigne de notre féminité, applique un geste rotatif, et voilà c’est terminé, poils et bulbes disparus.
Cet instrument est vendu pour, je cite, le "petit duvet disgrâcieux" de nos visages féminins, que nul n’osera appeler moustache et barbe. Moi oui, moi qui suis dans l’obligation de me désolidariser de mes amies méditerranéennes, me suis néanmoins laissée tenter par ce qui aurait pu n’être qu’un gadget, et le détourne à toutes mes fins utiles.
J’ai donc testé sur moi, pour moi, et pour vous, sur les jambes, où quelques poils rachitiques s’étaient faits oublier lors de ma dernière épilation, et puis sur la dentelle defoufoune le maillot. Alors je ne vais pas vous mentir, ce n’est pas indolore, pas moins que la cire ou toute autre méthode, mais (presque) aussi rapide, tout aussi et même plus efficace. Mais surtout, surtout, la taille de l’ÉPIL SPRING en fait une arme fatale nomade, qui déjà a trouvé sa place dans ma trousse de beauté … sait-on jamais … sait-on jamais imaginez que mon chemin en vienne enfin à croiser celui du BIGLOVE, vous me voyez lui dire que là ça ne va pas être possible, que là ce soir, j’ai du poil aux pattes ?...



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