cette année encore, toujours plus délabrée, de guingois, éventrée, chaise vide, fidèle gardienne de mes jours et mes nuits dans mon pays lointain. Elle m'accueille. Je lui souris. Elle me répugne. Elle me rassure. Elle me rappelle qu'ici, en Inde, rien ne se jette, tout hommes comme objets ont plusieurs vies.
Et c'est ici que je vais vivre durant un mois, pas vraiment touriste, assurément étrangère.

J'aime beaucoup ta phrase : "Tout, hommes comme objets, ont plusieurs vies.
RépondreSupprimerMerci pour ce billet.
Bises
Encore un beau billet, tu écris vraiment bien..
RépondreSupprimerBon voyage ma belle
Bises